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JACK’S en difficulté ?

La société Liberté, point-pilote où est situé la franchise Jack’s est actuellement en redressement judiciaire depuis le 13 mai 2014.
L’enseigne Jack’s a vu le jour après avoir réuni des anciens franchisés de l’Enseigne JACKSON BURGER et JACKSON EXPRESS.
Plus qu’une véritable création de concept, c’était la copie pure et simple d’un réseau qui avait été créé en 1983 par Jacky BELINE. Avec une trentaine de points de vente durant les 23 années d’existence, et régulièrement cité en 3ème derrière Quick et McDo,  JACKSON BURGER avait été surnommé par la presse  »le petit poucet du hamburger »
Jack’s ne semble pas avoir trouvé les clefs du succès malgré le copiage de la gamme de hamburger et des sauces créés par l’ancien fondateur de JACKSON.

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Quick: Coca-Cola remplacé par Pepsi et les boissons à volonté dans tous les restaurants

Le HuffPost  |  Publication: 12/02/2014

Les bulles de soda chez Quick ne seront plus les mêmes. L’enseigne de fast-food a annoncé mercredi 12 février qu’elle mettait un terme à son contrat (uniquement en France) avec Coca-Cola Company pour rejoindre PepsiCo et Orangina-Schweppes. A partir d’avril, fini les canettes rouges et autres Sprite ou Fanta, les clients auront le choix entre des boissons comme Pespi, Orangina, Oasis ou 7Up.
La chaîne de fast-food a annoncé une autre nouveauté et non des moindres: Quick proposera les boissons à volonté. « Le service de boissons en libre-service existe déjà dans un grand nombre de restaurants, le déploiement sera achevé en septembre prochain », explique le service communication de Quick contacté par le HuffPost. Un service qui « concerne toutes les commandes de boissons, seule ou dans un menu », nous a-t-on précisé.
Ventes record
Alors qu’aux Etats-Unis le service de boissons à volonté est courant depuis de nombreuses années, il se développe petit à petit en France. D’autres chaînes comme Subway, KFC ou Pizza Hut le proposent dans certains de leur point de vente.
Outre ces annonces, Quick a fait part de ses résultats record sur l’année 2013. « Sur un marché morose de la restauration rapide en recul global de 0,2%, ses ventes en France progressent de 3,5 % à 831 millions d’euros », souligne le Figaro. Un succès que le patron de l’enseigne Cédric Dugardin explique notamment par la rénovation de plusieurs dizaines de restaurants et le succès de certains produits comme le triple cheeseburger.

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McDonald’s dans le viseur du fisc français pour une évasion de 2,2 milliards d’euros

L’Express du 21-1-2014 par Emmanuel Paquette

McDonald's dans le viseur du fisc français pour une évasion de 2,2 milliards d'eurosDeux milliards d’euros glissés entre une tranche suisse et une autre, luxembourgeoise. La multinationale américaine McDonald’s n’est pas seulement le spécialiste incontesté du hamburger : elle a aussi élaboré une recette très secrète de sandwich fiscal. A la faveur d’un savant montage, le roi du Big Mac est soupçonné par l’administration française d’avoir soustrait, en cinq ans, une bonne partie de son chiffre d’affaires réalisé dans l’Hexagone. Depuis 2009, plus de 2,2 milliards d’euros, selon les services de Bercy, ont été transférés directement au Luxembourg et en Suisse sans que la filiale tricolore n’ait acquitté sur ces sommes le paiement de la TVA et de l’impôt sur les bénéfices. Ce sont entre 330 et 650 millions d’euros qui auraient ainsi échappé au fisc chaque année. Un joli tour de passe-passe…
Pour y voir plus clair dans les arrière-cuisines de la multinationale, une perquisition s’est déroulée discrètement au siège de la société, à Guyancourt (Yvelines), sous l’autorité du tribunal de grande instance de Versailles. Ayant débuté le 15 octobre dernier au matin, elle s’est terminée le lendemain à l’aube. A l’heure du McCafé.
Contactée par L’Express, l’entreprise confirme les faits : « Comme la plupart des grandes sociétés, nous faisons l’objet de demandes d’informations courantes de la part de l’inspection des finances publiques, auxquelles nous avons toujours répondu. » Mais ses dirigeants n’ont pas donné suite à nos demandes de rencontre. Détail savoureux, quelques jours avant cette opération, Jean-Pierre Petit, PDG des activités françaises et vice-président Europe du groupe, publiait son livre J’ai vendu mon âme à McDo (Cherche Midi). On ne saurait mieux dire.
Les 300 franchisés tricolores acquittent des redevances pour l’utilisation de la marque
En trente-cinq ans, l’enseigne américaine a réussi l’exploit de faire de la France son deuxième marché le plus rentable, juste derrière les Etats-Unis. McDo a dû batailler dur pour se faire une place au pays du Guide Michelin. Non contente de devoir lutter contre sa réputation de symbole de la malbouffe, la chaîne de restauration rapide a aussi subi, dans les années 1990, le kidnapping de son effigie, le clown Ronald, par des éco-guerriers, et le démontage de l’un de ses restaurants, à Millau, par José Bové.
Pour améliorer son image teintée d’impérialisme américain, elle a joué très vite la carte de la traçabilité des produits et de ses liens avec les producteurs nationaux. Sans compter l’adaptation de ses recettes au goût local : sauces aux fromages (saint-nectaire, fourme d’Ambert, cantal), McBaguette ou, plus récemment, formule « Casse-croûte » à moins de 5 euros. Une stratégie payante. « Jamais les Américains n’avaient imaginé que McDonald’s se développerait ainsi au pays de ces sacrés gastronomes mangeurs d’escargots », se félicite Petit dans son ouvrage.
En 2012, dans l’Hexagone, la multinationale a vendu pour 4,35 milliards d’euros hors taxes de hamburgers, de salades, de nuggets de poulet, etc., à travers son puissant réseau : plus de 1 300 restaurants, dont 20 % appartiennent à la marque et 80 % à des franchisés. Voilà la clef de la réussite de McDo. « Tout notre système repose sur [les franchisés] », reconnaît Jean-Pierre Petit dans son livre. En moyenne, chacun possède trois restaurants. Mais les plus importants d’entre eux peuvent en détenir jusqu’à 19, comme Michel Réglat dans la région de Toulouse, Mario Piromalli en Bretagne, ou Hervé Clément en Ile-de-France.
La franchise est aussi au coeur du système qui a permis l’évasion fiscale et qui donne aujourd’hui des migraines aux services de Bercy. Car les 300 franchisés tricolores acquittent des redevances « pour l’utilisation de la marque et du savoir-faire qui appartiennent à McDonald’s ». Ils doivent rétrocéder au géant américain 4 % de leur chiffre d’affaires pour les frais publicitaires et, surtout, entre 10 % et 20 % sous forme de commissions d’exploitation. Une fois leur obole versée, « ces entrepreneurs indépendants paient leurs impôts, investissent et créent des emplois du fait de la nature même de leur activité », tient à préciser l’enseigne. Les redevances des franchisés constituent l’essentiel de la rentabilité du groupe, soit près des deux tiers de ses marges.
Pour optimiser la gestion de cette manne, une filiale luxembourgeoise, McD Europe Franchising, a ouvert en janvier 2009 deux succursales, l’une aux Etats-Unis, dans l’Illinois, l’autre à Genève, en Suisse. Placée sous la direction de deux cadres, Cathy Martin et Mahrukh Sultana Hussain, la structure helvétique a encaissé plusieurs centaines de millions d’euros de commissions en provenance de McDo France. Une autre partie des flux financiers hexagonaux est parvenue au Luxembourg, à la suite d’un accord passé en mars 2009 avec le siège américain.
La maison mère permet alors à McD Europe Franchising d' »acquérir le droit d’utiliser, de développer, ou de sous-louer les moyens marketing et la propriété intellectuelle liés aux restaurants McDonald’s dans toute l’Europe ». En clair, la société du grand-duché peut recueillir le paiement des royalties de tous les franchisés installés sur le Vieux Continent, dont la France, mais elle doit ensuite reverser un montant annuel à la multinationale.
Les résultats sont impressionnants. Sur la seule année 2012, cette entité luxembourgeoise de 13 salariés affiche un chiffre d’affaires de plus de 1 milliard de dollars, pour un bénéfice net de 172,4 millions, grâce aux redevances payées par les franchisés de toute l’Europe. Surtout, le montage lui permet d’acquitter un impôt sur les bénéfices de 1,85 % seulement, au lieu du taux de 33,3 % en France .Une jolie économie. Elle n’aura payé en 2012 que 3,2 millions de dollars de taxes au total.
Un risque de redressement fiscal qui pourrait s’étendre à d’autres pays
Et c’est bien là que les services de Bercy s’étranglent. Pour eux, il ne fait aucun doute que la société luxembourgeoise et sa succursale suisse officient directement sur notre territoire. En effet, les franchiseurs bénéficient de moyens humains et matériels alloués par McDonald’s France. Comme le rappelle d’ailleurs dans son livre le patron tricolore, l’enseigne met à leur disposition « les meilleurs outils et les meilleures conditions afin qu’ils s’épanouissent, qu’ils prospèrent ». Dès lors, selon l’administration fiscale, les commissions reversées par les franchisés doivent bien être soumises à l’impôt dans l’Hexagone. Le manque à gagner pour l’Etat est susceptible de s’élever à plusieurs centaines de millions d’euros.
Pour le groupe américain, la menace d’un redressement fiscal est d’autant plus inquiétante que d’autres pays européens, comme l’Allemagne, par exemple, risquent d’emboîter le pas à la France. Un effet domino qui pourrait être désastreux. « Les entreprises doivent, à côté du marketing de leurs produits, avoir de plus en plus ce rôle citoyen […], écrit Jean-Pierre Petit. En trente ans, McDonald’s est devenu un membre actif et responsable de la société. » De quoi s’étouffer, sans même avoir avalé un hamburger.

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McDoMcDonald’s ferme un site internet destiné aux employés leur conseillant d’éviter les fast-food

Le HuffPost  par Wendy BracatPublication: Mis à jour: 27/12/2013 18h25 CET

FAST-FOOD – « Nous reviendrons bientôt » , voici la phrase qui fait désormais office de message de bienvenue sur McDonald’s Resource Line. Ce site interne, créé par un sous-traitant et destiné aux employés du géant de la restauration rapide McDonald’s vient d’être fermé pour une durée indéterminée.

La raison de cette fermeture: les conseils diététiques du site qui exhortaient les travailleurs à privilégier la nourriture saine à celle riche en graisses et en sucres des fast-food, tel McDonald’s

Avec la photo d’un repas McDo estampillée « nourriture malsaine » face à un verre d’eau et une salade. Ou encore, le dessin d’un soda et d’une assiette d’hamburger-frites barrés d’un trait rouge accompagné de la mention « choisissez des fruits ou des légumes à la place d’aliments malsains et gras », les recommandations du site étaient plutôt claires.

Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes ont évidemment critiqué le double discours de McDonald’s.

La direction a immédiatement réagi

Constatant l’ampleur de la polémique, la direction a ordonné la fermeture temporaire du site.

« Nous avons crée le programme McResource, élaboré par des experts sous-traitants indépendants pour aider nos employés dans leur travail et dans leur vie. Une combinaison de facteurs nous a amené à le réévaluer et nous avons demandé au vendeur de fermer le site web. Des informations obsolètes et hors de propos, ainsi que des éléments sortis de leur contexte ont suscité un examen injustifié et des commentaires inappropriés, » a déclaré la porte-parole de McDonald’s États-Unis, Lisa McComb.

Récidive

Cependant, ce n’est pas la première fois que le site se fait épingler pour ses « suggestions ». Ennovembre dernier, le McDonald’s Resource Line incitait ses employés à trouver un second travail ou à vendre des affaires personnelles pour arrondir leurs fins de mois.

Des « précieux » conseils qui ont fini par coûter cher au site

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vu sur lesechos.fr  Par Christophe Palierse | 26/11 | 22:30 | 

L’Américain lance son partenariat avec Olivier Bertrand. Il compte bâtir un réseau de 350 à 400 établissements sur une dizaine d’années dans l’Hexagone.

Le restaurant Burger King de Marseille. - AFP
Burger King et son célèbre Whopper font donc leur retour en force sur le marché français . Attendu depuis plusieurs jours, le projet d’accord entre le numéro deux mondial de la restauration rapide et Groupe Olivier Bertrand –le holding du groupe de restauration (Bert’s, Angelina, brasserie Lipp, cafétérias…), d’hôtellerie et de distribution Bertrand–, a été officialisé mardi soir, et les deux protagonistes affichent clairement leur ambition : ils visent, indiquent-ils, une part de marché de 20 %.

Concrètement, il s’agirait, selon nos estimations, de bâtir un réseau de 350 à 400 établissements sur une dizaine d’années (au rythme de 35 à 40 par an), à comparer à environ 1.200 pour le géant McDonald’s actuellement. Plutôt discret en matière de chiffres, le duo franco-américain entend créer, précise-t-il, 1.200 emplois dès la première année, pour « l’essentiel » avec l’ouverture de restaurants. « Le marché français, l’un des plus importants au monde pour la restauration rapide, est pour nous stratégique », commente le président de la zone Europe, Moyen Orient-Afrique de Burger King, José Cil.

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burger kingBurger King à Paris : Saint-Lazare en décembre, Franchise Expo en mars
C’est officiel : Autogrill, franchisé et partenaire de Burger King pour la France, a lancé fin septembre les travaux du 1er restaurant parisien à l’enseigne, gare Saint-Lazare, au niveau des quais. Il s’agira de la 3ème ouverture de la chaîne américaine avec Autogrill dans l’Hexagone : la 1ère a eu lieu en décembre 2012 à l’aéroport Marseille Provence, la 2ème sur l’aire d’autoroute Reims Champagne Sud en juillet dernier.Burger King ouvrira en décembre avec son franchisé et partenaire pour la France Autogrill son premier restaurant parisien, gare Saint-Lazare, le 3ème en France. L’enseigne sera également présente en mars 2014 au salon Franchise Expo Paris.
Ce point de vente, qui ouvrira ses portes en décembre, disposera d’une salle intérieure de plus de 160 m², d’une « double ligne d’assemblage », et « sera doté des dernières innovations de la marque en Europe, comme l’affichage des menus sur 6 grands écrans numériques », indiquent les deux partenaires dans un communiqué. Les futurs salariés Burger King de Saint-Lazare, recrutés en interne par Autogrill et en externe via Pôle Emploi, seront formés au sein de restaurants à l’enseigne en Espagne et en France (Reims et Marseille).

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Vu sur lefigaro.fr

Les employés de McDonald’s et d’autres chaînes de restauration rapide réclament des hausses de salaire. Le conflit social gagne progressivement le territoire : 50 grandes villes nord-américaines sont touchées. La grogne monte et gagne les plus grandes villes des États-Unis. Initialement cantonnée à New York, la mobilisation des salariés des fast-foods gagne désormais 50 grandes villes nord-américaines, une première dans ce secteur. La mobilisation touche en premier lieu le célèbre McDonald’s mais également les autres enseignes de restauration rapide comme Burger King, Wendy’s ou KFC.  En juillet, sept villes ont participé à la mobilisation, dont New York, Chicago et Detroit, et jeudi, les organisateurs du mouvement prévoyaient des grévistes dans une cinquantaine de villes, dont New York, Boston, Chicago, Denver, Detroit, Hartford, Houston, Los Angeles, Memphis, Milwaukee, Oakland, Raleigh ou Tampa. La revendication des salariés est classique: ils se battent pour une hausse de leur salaire minimum. Mais l’ampleur de leur demande est plus surprenante: ils réclament 15 dollars de l’heure (11,30 euros), plus du double de l’actuel salaire minimum de 7,25 dollars payé par de nombreux fastfoods, et la possibilité de se syndiquer. Les employés et syndicats se plaignent en outre de conditions de travail «abusives». «C’est bruyant, il y fait très chaud, on vous demande d’être très rapide, on vous met la pression. Parfois, vous ne pouvez même pas faire de pause. Tout ça pour 7,25 dollars de l’heure, c’est dingue», s’insurgeait une employée d’un McDonald’s.

Le secteur fait la sourde oreille

Plusieurs représentants politiques soutiennent ce mouvement y compris des républicains. Jerrold Nadler, représentant du Parti démocrate à New York, a par ailleurs déclaré que «l’industrie de la restauration rapide brasse 200 milliards de dollars par an et pourtant la plupart des salariés dépendent des aides alimentaires et médicales, c’est un scandale.» Selon le New York Times , les salariés des fast-foods qui gagnent le salaire minimum ont un pouvoir d’achat inférieur à celui de leurs collègues des années 1950. Si le salaire minimum avait suivi l’inflation ou la moyenne des salaires ces 50 dernières années, il serait d’environ 10 dollars de l’heure, ajoute le quotidien. Jusqu’à présent, le secteur de la restauration rapide a fait la sourde oreille à ces revendications. L’Association nationale des restaurateurs a, elle, estimé qu’un salaire de 15 dollars de l’heure obligerait les restaurants à employer moins de personnel. De son côté, plutôt que d’accéder à la demande de ses salariés, McDonald’s avait préféré leur conseiller de mieux gérer leur budget. En partenariat avec Visa, un site leur apprenait à faire des économies. Des conseils pas forcément très appréciés… Bien mal lui en a pris, car à en croire une récente étude de l’université du Kansas, un doublement des revenus de ses employés aurait peu d’impact. Elle provoquerait une augmentation du prix du Big Mac de seulement 68 cents (0,50 euro). Le sandwich vedette passerait ainsi de 3,99 à 4,67 dollars (3,50 euros), affirme l’auteur de l’étude, Arnobio Morelix, citée par le Huffington Post américain . De fait, l’universitaire a constaté que seuls 17,1% des revenus du géant sont consacrés aux salaires et avantages sociaux de ses quelque 500.000 employés américains. Reste à savoir si McDonald’s est prêt à reconsidérer les salaires de ses employés.

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Vu sur lefigaro.fr/conso

Restauration rapide et même spécialistes du hamburger accommodent de plus en plus leurs plats à la sauce bio. La clientèle suit malgré un surcoût non négligeable.

Depuis quelques années déjà des enseignes de sandwicherie et de restauration rapide telles que Cojean, Exki ou Bert’s multiplient les ingrédients bio dans les produits qu’ils proposent. Preuve que ce genre de consommation s’enracine dans les habitudes alimentaires d’une partie de la population, la tendance touche désormais le hamburger, icône de la malbouffe. Dès 2008, le grand chef Marc Veyrat s’était essayé au fast-food bio avec son enseigne Cozna Vera sur les bords du lac d’Annecy, fermée en 2010. Cette même année, Quick avait lancé en série limitée un cheeseburger bio.

De façon plus durable des chaînes spécialisées dans le burger bio se sont enracinées aux États-Unis, telles que l’enseigne new-yorkaise Bareburger ou Elevation Burger présent à travers le pays ainsi que dans le golfe arabique. Plus proche de nous, la mode américaine des food trucks, ces camions qui proposent des repas chauds aux salariés pour la pause déjeuner, se décline aussi en version bio. C’est le cas notamment de Cantine California à Paris.

Projet de fin d’études

Dernière initiative, Bioburger, le fast-food parisien 100% bio qui vient d’ouvrir cette semaine sa deuxième adresse dans le IXe arrondissement. À l’origine, les jeunes cofondateurs de l’enseigne, Louis Frack et Anthony Darré (25 et 26 ans) avaient lancé l’idée comme une boutade entre camarades d’école de commerce. «Comme beaucoup d’étudiants, je mangeais souvent dans des fast-foods mais quelques heures après j’avais encore faim ou alors mal au ventre», se souvient Louis Frack. À force de creuser, les deux compères se rendent compte que leur intention n’est pas si farfelue et elle devient leur projet de fin d’études. Et deux ans après l’ouverture de leur mini-adresse (30 m2), dans le IIe arrondissement, qui devrait générer cette année 430.000 euros de chiffre d’affaire, ils s’offrent une deuxième adresse bien plus spacieuse (100 m2). À la tête de l’établissement, les deux entrepreneurs qui ont de la suite dans les idées, ont placé un ancien manager de McDonald’s, venu là, explique-t-il, «pour le contact avec la clientèle et le goût des produits». Pour les menus, compter 10,5 à 12,5 euros. C’est bien plus que la concurrence traditionnelle mais c’est le prix à payer pour du 100% maison (à l’exception du ketchup) et des produits bio qu’il a parfois fallu dénicher comme le gouda fabriqué dans la Mayenne et qui garnit le cheeseburger, indétrônable vedette de l’enseigne.

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Le triple cheese est chez Quick jusqu’au 7 octobre

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Original des spécialités avec du jambon basque à découvrir chez Speed burger

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Pour les vrais gourmands, le toasté pur boeuf à la Brioche Dorée

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lina's

J’ai aimé le sandwich Crevettes-avocat, raffiné et copieux

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Transformez votre sandwich en salade ou en wrap…idée intéressante !

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Mc Rancher ou Mc Farmer, quel est votre préféré : votez sur le site officiel

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Après Paris St-Lazare, une rumeur circule sur une ouverture à Beaugrenelle. A suivre…

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KFC

En ce moment chez KFC, le Black Pepper

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