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ouverture du plus grand Burger King de France

La Défense : ouverture du plus grand Burger King de France
>Île-de-France & Oise > Hauts-de-Seine|12 août 2015, 7h38 | MAJ : 28 octobre 2016, 15h45|51
Hauts-de-Seine

Les amateurs de fast-food vont être servis. Burger King ouvre ce mercredi son plus grand restaurant de France dans le centre commercial les Quatre-Temps à La Défense. Après des mois de travaux, les créateurs du sandwich Whopper décrivent leur nouvel établissement comme « un concept atypique ».

« On voulait ouvrir un restaurant aux Quatre-Temps depuis longtemps, c’est un point de passage important dans notre développement », explique Jocelyn Olive, directeur général de Burger King France. Le rival de McDonald’s et de Quick est revenu en France fin 2012 après quinze ans d’absence. Le fast-food floridien ne cesse depuis de s’étendre. Le Burger King de La Défense est le 23e restaurant à ouvrir dans le pays et le deuxième dans le département après celui de Neuilly-sur-Seine inauguré en janvier dernier.

Le BK des Quatre-Temps se présente comme un « flagship store », ou un magasin porte-étendard. Pour faire face aux fortes affluences attendues, trois cuisines fonctionneront en permanence avec plus de 150 employés pour faire tourner cette grande boutique de 900 m². Toute cette organisation permet d’accueillir jusqu’à 250 clients. « On voit les choses en grand », annonce Jocelyn Olive. Autre nouveauté présentée par Burger King, une nouvelle décoration qui deviendra le standard dans tous les futurs restaurants de la marque. « On veut retrouver les valeurs américaines de Burger King avec l’usage de matériaux plus bruts comme le bois massif tout en gardant une touche moderne », raconte Jocelyn Olive.

La marque veut frapper un grand coup

Burger King cherche donc à frapper un grand coup dans un centre commercial déjà très bien desservi en restauration rapide. Ce fast-food, aussi ambitieux soit-il, fait littéralement face à un restaurant Quick et a pour voisin un Comptoir Casino. Ce qui n’empêche pas Jocelyn Olive d’être optimiste pour sa propre enseigne : « La concurrence est saine, elle ne nous fait pas peur. »

Avec 100 M€ de chiffre d’affaires en France l’an passé, l’insatiable géant américain ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. A moyen terme, Burger King espère ouvrir plus de 300 restaurants et ainsi dévorer 20 % du marché des fast-foods.

Factory & Co lance deux nouveaux concepts

Factory & Co Invest lance coup sur coup deux nouveaux concepts, Blendy’s et Pepperico

 Source snacking.fr/news

Avec 6 adresses fin 2016 pour un volume d’affaires sous enseigne qui tutoiera les 12 M€HT, 5 ouvertures programmées dans les 16 mois dont 3 en gares avec Areas, Factory & Co muscle son réseau et poursuit son rythme de croisière. Une dynamique d’ouvertures que le fondateur Jonathan Jablonski souhaite prudente et calculée. Ce qui ne l’empêche pas de bouillonner d’idées et de lancer d’autres chantiers. Après avoir mis en sommeil ses projets de concepts italiens, il va doubler la surface de son laboratoire à Ivry-sur-Seine et inaugurera à quelques semaines d’écart Blendy’s avec Elodie Morgaine positionnée sur le Healthy et Pepperico avec Didier et David Touboul en co-entreprise ; un concept de gourmet Burrito dont il rêvait depuis des années. Avec le même mot d’ordre qui prévaut chez Factory & Co : la fabrication maison pour une recherche de la meilleure qualité. De quoi constituer une belle brochette d’enseignes complémentaires à proposer aux concédants en recherche de diversité et de modernité.

Big Fernand roule pour UberEATS

Big Fernand roule pour UberEATS avec un burger signé Hubert

 Source snacking.fr/news
La chaîne de hamburgé vient de nouer un partenariat avec le géant américain Uber, et son antenne française UberEATS, pour livrer des burgers aux franciliens en créant une recette exclusive

Il y en a qui jouent le jeu jusqu’au bout. C’est le cas de la chaîne de gourmet burger Big Fernand qui vient d’annoncer un partenariat avec UberEATS et de lancer pour l’occasion une recette spéciale et exclusive d’hamburgé baptisée Hubert et disponible uniquement sur l’application. Un burger au bœuf, à la fourme d’Ambert, aux tomates confites, aux oignons frits, à la ciboulette et à la sauce Tonton Fernand (délicatement sucrée).

Pour le moment, l’atelier du hamburger proposera ce service aux consommateurs de Paris et de la région parisienne qui pourront être livrés en moins de 30mn à partir de ses 11 restaurants franciliens en quelques clics. Steve Burggraf, Président Co-fondateur de l’enseigne se réjouit de cet accord et de « ce partenaire solide et pérenne pour assurer une logistique sans faille ». De son côté, Guido Gabrielli, General Manager UberEATS France, se dit très heureux de ce partenariat avec cette enseigne iconique française en soulignant le succès de son application depuis son lancement à Paris il y a quelques mois.

Une quinzaine de franchisés La Pataterie prêts à rejoindre French Burgers

Source: les Echos de la franchise 06.05.2016 mis à jour le 06.05.2016, Jennifer Matas
Pour ses débuts en franchise, l’enseigne de burgers élaborés par des chefs étoilés transformerait notamment plusieurs restaurants franchisés appartenant au réseau La Pataterie.

La nouvelle fait grand-bruit dans le milieu de la franchise. Pourtant, il ne s’agit pas d’une « guerre ouverte entre deux réseaux », assure-t-on chez French Burgers, mais simplement de la volonté de plusieurs franchisés La Pataterie de changer d’enseigne. Réunis en collectif, plusieurs dizaines d’affiliés ont ainsi décidé de contacter le fondateur de French Burgers dans le but de basculer sous son enseigne. Parmi eux, plusieurs auraient des difficultés financières, certains ayant dû placer leur établissement en procédure de sauvegarde ou en redressement judiciaire. « Nous étudierons les demandes au cas par cas, tempère Bruno Oddos, créateur et dirigeant de French Burgers. Certains emplacements, par exemple, peuvent ne pas correspondre à notre concept. » Au total, entre 15 et 20 La Pataterie devraient être transformés en restaurants French Burgers ces trois prochaines années. Le premier, dont l’ouverture à la nouvelle enseigne est prévue le 18 mai, sera l’établissement de Mérignac, situé dans la Gironde natale du concept de Bruno Oddos.

Un démarrage rapide

Si ces transformations devraient permettre à French Burgers de démarrer rapidement en franchise, d’autres ouvertures sous ce modèle ainsi qu’en propre sont d’ores-et-déjà prévues. « Au total, une quinzaine de restaurants devraient ouvrir cette année et entre 30 et 40 les prochaines années », estime Bruno Oddos. Parmi les villes qui accueilleront dès 2016 un French Burgers se trouvent Toulouse – dont l’ouverture est prévue en juillet – Arcachon, Aix-en-Provence, Lille, Lyon et Paris, rue de Charonne, en septembre. Pour l’instant, l’enseigne compte un site pilote inauguré en 2013 à Bordeaux. Mais le développement en franchise trotte dans la tête de Bruno Oddos depuis plus d’un an. « Nous voulions annoncer le lancement officiel en avril 2016, juste après le salon Franchise Expo », explique-t-il. Le fondateur de French Burgers souhaitait également se donner le temps de recueillir les fonds nécessaires – environ 2,5 millions d’euros – pour accompagner ce lancement en franchise. Pour motiver les investisseurs à rejoindre l’aventure et accompagner le développement rapide de l’enseigne, Bruno Oddos est passé par Finance Utile, une plateforme de financement participatif, afin de lever dès 2015 un premier apport de 300 000 euros.

Chefs étoilés French Burgers
Crédits photo : Droits réservés
De gauche à droite :Christophe Girardo, Pascal Nibaudeau et Fabrice Biasiolo.
Un concept qui séduit

Car le fondateur de French Burgers a de l’ambition : passer de un à 90 restaurants en moins de cinq ans et, pourquoi pas, exporter son concept à l’étranger. Bruno Oddos travaille déjà depuis plusieurs mois sur une probable ouverture aux Etats-Unis, dans la ville de San Antonio, au Texas. Le premier restaurant pourrait voir le jour dès 2017. D’autres ouvertures sont également à l’étude en Europe, notamment à Londres, en Espagne, au Portugal ou encore en Suisse. Si le plan développement prévu est respecté, l’enseigne projette de passer de 9 millions d’euros de chiffre d’affaires prévus en 2016 à 150 millions dès 2019. Soit une multiplication par 16 en l’espace de seulement cinq ans.

Le dirigeant mise tout le succès de son concept sur une promesse de qualité des produits et une décoration « chaude et contemporaine, jouant sur les mêmes codes couleurs qu’une boutique Sushi Shop ou Nespresso », explique-t-il. Côté cuisine, on trouve des « plats intemporels » qui reviennent régulièrement, mais surtout des burgers renouvelés à chaque saison, soit une carte qui change quatre fois par an. Et derrière les fourneaux pour élaborer ces recettes inédites, ensuite proposées en restaurant, pas n’importe qui : Christophe Girardo, Pascal Nibaudeau et Fabrice Biasiolo, tous trois chefs étoilés. « Nous ne sommes pas un énième concept de fast-food, mais bien une enseigne de brasserie », souligne Bruno Oddos. Rien à craindre, donc, des Burger King, McDonald’s et autres Five Guys, dont l’arrivée en France dès juillet risque fort de chambouler à nouveau le marché du burger.

Jennifer Matas

Burger King

Le rachat par le groupe Bertrand de Quick a permis à Olivier Bertrand, master franchisé de Burger King en France de se positionner d’emblée, avec un parc de près de 454 établissements comme le numéro 2 français du burger. Le projet clairement posé est de convertir la plus grande partie des Quick en Burger King et de redonner un vrai élan mais aussi une nouvelle légitimité à tous ces établissements disséminés partout en France. Avec un chiffre moyen par établissement de près de 4,5 M€, supérieurs à McDo et près du double d’un Quick, Burger King est clairement moteur d’activité et de dynamisme partout où il s’installe. Le transfert de marque va se faire progressivement jusqu’à 2020 dans le cadre d’un nouveau contrat de franchise unique sur un modèle de location gérance. En sus des conversions, notre objectif est d’ouvrir ou de convertir une quarantaine d’établissements par an pour atteindre le cap des 600 adresses (dont 30% en succursales) et un chiffre d’affaires de 2md€ en 2020. Le premier Quick fermé pour être converti en Burger King est d’Opéra dont la réouverture est prévue pour septembre. D’autres suivront très vite.

L’intégralité de l’article sur http://www.snacking.fr/news-2926-Jerome-Tafani—Nous-visons-les-600-Burger-King-a-5-ans-et-les-2md–de-CA–.php

McDonald’s visé par une plainte pour fraude fiscale

Publication: Mis à jour: 

FISCALITÉ – Les élus du comité d’entreprise de McDonald’s Ouest Parisien ont déposé plainte ce jeudi 17 décembre pour blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux, mettant en cause des pratiques fiscales rendant « impossible » tout bénéfice et donc tout intéressement des salariés, a-t-on appris de source syndicale.

La plainte a été déposée à Paris auprès du procureur de la République financier « pour blanchiment de fraude fiscale en bande organisée », a précisé à l’AFP Eva Joly, avocate, avec son confrère Pierre Lumbroso, du CE composé en majorité d’élus Unsa et CGT.

« Pas de bénéfices, donc pas d’impôts sur les sociétés »

C’est un « enjeu de société parce que les conditions de travail chez McDo souffrent du fait qu’il n’y a pas de bénéfices (…) C’est aussi une perte colossale pour les finances publiques », a ajouté la députée européenne, ancienne magistrate du pôle financier et candidate EELV à la présidentielle en 2012.

« Depuis la création de notre entreprise, aucun salarié n’a pu percevoir le moindre euro de participation sur les bénéfices, ceux-ci étant inexistants d’un point de vue comptable », écrit le CE McDonald’s Ouest parisien (16 restaurants, 900 salariés) dans un communiqué.

Des rapports d’expertise du CE « montrent un système de flux financiers qui circulent entre restaurants et maison mère de façon à affaiblir chacun de nos restaurants » avec, pour conséquence, « pas de bénéfices, donc pas d’impôts sur les sociétés et pas de prime de participation pour les salariés », a expliqué à l’AFP Gilles Bombard, secrétaire général CGT McDonald’s Paris et Ile-de-France.

Selon le communiqué du CE, « l’excédent d’exploitation réalisé chaque année est de l’ordre de 20% du chiffre d’affaires en moyenne, mais chaque restaurant verse des redevances exorbitantes à une société défiscalisante basée au Luxembourg à hauteur de 22% du chiffre d’affaires en moyenne. Le bénéfice est donc impossible ». »Le manque à gagner pour les salariés est grand. Pour l’État français, il est colossal », souligne le communiqué.

La plainte vise aussi les chefs de comptes inexacts, faux et usage de faux, et recel.

Un précédent en 2014

Le même CE avait déjà déposé plainte en 2014 à Versailles contre McDonald’s Ouest Parisien, dont le siège est, comme celui de McDonald’s France, à Guyancourt (Yvelines).

« Nous avons élargi le sujet, nous avons mis en évidence que ce mécanisme ne concerne pas que McDo Ouest Parisien mais toutes les filiales et tous les restaurants français, et donc qu’il est de la compétence du procureur financier national », a souligné Eva Joly.

McDonald’s France avait affirmé en février que l’enseigne et ses franchisés ont payé « plus d’un milliard d’euros d’impôt sur les sociétés en France » depuis 2009. La chaîne de restauration rapide réagissait à la publication d’un rapport l’accusant d’avoir soustrait plus d’un milliard de recettes fiscales aux Etats européens depuis 2009.

Ce rapport, établi par trois fédérations syndicales internationales, a été intégré à la plainte, a précisé l’avocate.

La chaîne de restaurants Buffalo Grill est à vendre

Selon Le HuffPost Publication:

 

Buffalo Grill, la chaîne française de restauration spécialisée dans la grillade, est à vendre, a indiqué jeudi 12 novembre à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information de presse. Selon le quotidien Les Echos, l’opération de vente des restaurants a été engagée par les propriétaires.
Ces derniers souhaitent vendre Buffalo Grill pour une valeur estimée à 400 millions d’euros.Ils ont reçu « des marques d’intérêt de fonds français et anglo-saxons », précisent Les Echos. Contacté par l’AFP, Buffalo Grill n’a pas souhaité confirmer ces informations.
Buffalo Grill est le leader de la restauration à thème avec 331 restaurants – succursales et franchisés – 522 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014 et 6.560 salariés. Créé en 1980, le groupe a été racheté en septembre 2008 par le fonds d’investissement Abenex Capital (en tant qu’actionnaire majoritaire), la société de gestion de portefeuille Nixen Partners et plus de 200 cadres de l’entreprise.
En mai dernier, Buffalo Grill avait annoncé l’obtention d’une ligne de crédit de 30 millions d’euros pour poursuivre ses investissements et sa politique d’ouverture de nouveaux restaurants. Depuis un an, la chaîne s’est positionnée notamment sur le marché du burger avec l’ouverture en 2015 de quatre établissements spécialisés dénommés « Buffalo Burger », installés à Lille, Chartres, Amiens et Bordeaux.