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Obligation HACCP sur l’hygiène alimentaire

A compter du 1er octobre 2012, les responsables d’établissement de restauration doivent avoir dans leur effectif au moins une personne ayant suivi une formation à l’hygiène alimentaire.

Toutefois, les personnes pouvant justifier d’une expérience professionnelle d’au moins trois ans au sein d’une entreprise du secteur alimentaire comme gestionnaire ou exploitant sont réputées avoir satisfait à l’obligation de formation, en application de l’article L233-4 du code rural et de la pêche maritime.

CONTRÔLES D’HYGIÈNES

Les services vétérinaires effectuent des contrôles en matière de respect des règles d’hygiène et de sécurité alimentaires. Il appartient au responsable de l’établissement de s’y conformer pour éviter sanctions et pénalités financières suivant la constatation de ces infractions.

ETABLISSEMENTS CONCERNÉS

Cela recouvre trois activités :

  1. restauration traditionnelle : activité de restauration avec un service à table ;
  2. cafétérias et autres libres services : une cafétéria est un lieu de restauration où il y a peu ou pas de service à table. Le consommateur se sert généralement comme dans un libre-service, à l’aide de plateaux individuels ;
  3. restauration rapide et vente à emporter : établissement proposant la vente au comptoir d’aliments et de boisson présentés dans des conditionnements jetables, que l’on peut consommer sur place ou emporter. Ces aliments et boissons peuvent également être proposés en livraison immédiate par véhicule motorisé ou non, en magasin ou sur éventaire et marché (y compris véhicules boutiques).

Les activités suivantes sont dans le champ d’application des textes (quel que soit le code NAF de l’établissement) :

  • les trois activités listées ci-dessus exercées à titre secondaire et/ou occasionnelle ;
  • la vente de repas dans des structures mobiles et/ou provisoire : sites mobiles, véhicules boutiques (exemple camion-pizzas), installations saisonnières (exemple kiosques de plages) ;
  • les cafétérias dans les établissements dont l’activité de restauration n’est pas l’activité principale (grandes et moyennes surfaces (GMS), grands magasins, stations-services, etc..) ;
  • les activités des bars et restaurants avec service de salle installés à bord de moyens de transport ;
  • les salons de thé ;
  • les restaurants des hôtels, clubs de vacances, bateaux de croisière, et cures thermales ;
  • les fermes-auberges ;
  • les traiteurs disposant de places assises ou de « mange-debout » permettant aux clients de consommer les plats qu’ils commercialisent ;
  • les associations préparant régulièrement des repas.

Selon l’article 2 de l’arrêté du 5 octobre 2011 relatif au cahier des charges de la formation spécifique en matière d’hygiène alimentaire, la durée de la formation adaptée à la restauration commerciale est de 14 heures soit 2 jours.

Exclusif : deux nouveaux concepts à créer

 

Deux nouveaux concepts de restauration rapide peuvent voir le jour avec vous : Alors nous unissons nos compétences ?

Nous avons déjà pensé au principe, et nous prenons un grand plaisir à préparer une carte inédite pour de la restauration rapide.

Et comment imaginer un nouveau concept sans la création d’une image forte qui imposera son identité dans les Centres Commerciaux, les campings et autres food-court…

Originalité dans la gamme de produits, matériel adapté à ce style de restauration et look particulièrement soigné, rien ne sera laissé au hasard.

Alors, vous voulez en savoir plus et être le créateur prêt à investir dans un des deux concepts ?

Contactez Jacky BELINE  jacky.beline@gmail.com

LA PAIX DES BURGERS N’AURA PAS LIEU

L’ADN Publié le 31/08/2015 Par Mélanie Roosen

Pour la rentrée, Burger King voulait proposer au monde un geste de paix – un burger cosigné avec son compétiteur de toujours : McDonald’s. Les internautes raffolaient de l’idée. Mais la recette n’a pas été du goût de Donald.

Pour la journée de la paix le 21 septembre prochain, promue par l’association Peace One Day,  Burger King a fait une proposition pour le moins inattendue à son rival McDonald’s. Le burger couronné suggérait en effet à son confrère de combiner leurs efforts pour créer le sandwich ultime. Baptisé McWhopper, il aurait combiné 6 ingrédients du Big Mac et autant du Whopper. Deux classiques qui, plutôt que de s’affronter sur le ring du bun une énième fois, auraient pu s’unir sur l’autel du steak.

Outre les espoirs d’une réconciliation improbable, l’initiative a fait naître chez les internautes le désir de croquer à pleines dents dans le burger 3 étages et l’impatience d’entendre la réponse de McDonald’s.

Si celle-ci ne s’est pas faite attendre, elle n’aura pas été du goût de tout le monde. En effet, Steve Easterbrook, CEO de McDonald’s s’est emparé de la page Facebook de la marque pour décliner la proposition. Refusant mais saluant l’idée, il appuie le fait que les marques devraient s’associer pour un effort « riche de sens au niveau mondial », mais aussi qu’il n’existe qu’une « compétition amicale entre eux ». Pas de comparaison possible avec les circonstances d’une guerre, « ses peines et ses souffrances ». Enfin, il termine par un post-scriptum sans équivoque : « La prochaine fois, un simple coup de fil suffira ». Vexé d’avoir été médiatisé à son insu ? Quoiqu’il en soit, les internautes n’apprécient pas…

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Handicap. De nouveaux délais pour l’accessibilité des lieux publics

Ouest-France : Les députés ont accepté de nouveaux délais pour la mise en accessibilité des lieux publics aux personnes handicapées. Ces dernières vont encore devoir patienter.

L’Assemblée nationale a définitivement ratifié, ce lundi, l’ordonnance prévoyant de nouveaux délais pour la mise en accessibilité des lieux publics, prenant acte de l’impossibilité d’atteindre l’objectif de 2015 que la loi de 2005 avait fixé (lire en encadré). Le Sénat devrait à son tour adopter définitivement aujourd’hui, mardi, le projet de loi dans la version issue d’un compromis députés-sénateurs.

De nouveaux délais allant de trois à… neuf ans

De fait, les établissements qui ne se sont pas mis en conformité avec l’obligation d’accessibilité doivent déposer en mairie ou en préfecture, d’ici octobre 2015, un « agenda d’accessibilité programmé », dans lequel ils s’engagent à réaliser les travaux dans un certain délai. Il sera de trois ans pour « 80% des établissements » ayant une capacité d’accueil de 200 personnes maximum.

Il pourra toutefois monter jusqu’à six ans, voire neuf ans, pour les établissements de plus grande capacité, les patrimoines comprenant plusieurs établissements et ceux qui sont « en difficulté financière avérée ». Pour les transports, les délais maximums seront de trois ans (transports urbains), de six ans (interurbains) ou de neuf ans (ferroviaires).

À Saint-Brieuc. La Pataterie en liquidation judiciaire

Selon Ouest-France, moins d’un an après son ouverture à Brézillet (Saint-Brieuc), le restaurant la Pataterie a été placé en liquidation judiciaire. Il employait 15 salariés.
Mercredi,  le tribunal de commerce de Saint-Brieuc a prononcé la liquidation judicaire du restaurant  la Pataterie. Ouvert à la fin du mois d’août 2014 dans la zone de Brézillet, près du Cinéland, l’établissement était en redressement judiciaire depuis le 23 juin.Il employait quinze salariés.  « Sous réserve de vérification,  le passif s’élèverait à près de 400 000 € », indique un représentant des salariés.

un milliard de burgers en France en 2014

ALIMENTATION – C’est un record. Le burger continue de gagner du terrain dans l’Hexagone avec plus d’un milliard d’unités vendues en 2014 et une diffusion à l’ensemble de l’offre de restauration, selon une étude du cabinet Gira conseil publiée lundi.

« Les burgers représentent aujourd’hui un marché important de la restauration rapide en France, puisque 1,07 milliard d’unités ont été vendues en 2014, une croissance de près de 10% par rapport à l’année précédente », souligne le cabinet dans sa présentation de l’étude.

Produit du midi ou du soir, dans un cadre festif ou de nécessité, le burger se décline sous toutes les formes pour un prix allant de moins de 5 euros à plus de 20 euros.

Les hamburgers sont traditionnellement perçus comme emblématiques de la cuisine américaine. La preuve: en 2014, plus de 9 milliards de ces sandwichs ont été vendus aux États-Unis. Mais dans l’Hexagone, ce sont les burgers « à la française », dont certains se démarquent par leurs « qualités gustatives haut de gamme et l’efficacité de leur concept », qui se développent le plus.

Sur toutes les tables

Leur succès est également porté par leur diffusion à l’ensemble des restaurants français avec service à table, constate Gira, qui estime à « plus de 75% le nombre de restaurants ayant mis au moins un burger à leur carte ces dernières années ». En outre, « parmi ces 75%, ce sont plus des trois-quarts qui affirment désormais que le burger est devenu le plat leader de leur carte ».

« Les lignes du burger ont considérablement bougé ces dernières années. Le burger est-il devenu un produit de masse gustativement fréquentable ou bien est-ce une bulle qui pourrait à terme imploser ? La guerre du burger ne fait que commencer et gare à ceux qui ne seront pas reconnus comme qualitatifs », analyse Bernard Boutboul, directeur de Gira conseil.

Jack’s connait la crise

Contrairement à ce qui est publié sur le site internet Jack’s:

« La Franchise Jack’s ne connaît pas la crise !
En 2009, le groupe va doubler ses activités et vise le seuil des 15 unités franchisés.' »

Raté :  Le réseau n’arrive pas à décoller, les fermetures à répétition, les déboires du restaurant-pilote de Brest, La Franchise Jack’s connait bien la crise. Avec 11 unités en 2015 alors qu’il était annoncé 15 en 2009, force est de constater qu’il n’y a pas eu beaucoup de preuve de succès quand on sait que le concept est exploité sur les cendres de Jackson Burger, il manque probablement quelque chose d’essentiel qu’il ne nous appartient pas de dévoiler ici.